AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Smartphone Xiaomi 14 – 512 Go- 6,36″ 5G Double SIM à 599€
599 €
Voir le deal

Partagez
 

 #Georgia - Get out, right now !

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

FONDA Ϟ walk the line
Bryden M. Johnson
Bryden M. Johnson

En ville depuis le : 14/03/2015 , j'ai colporté pas moins de : 115 rumeurs. J'ai : 31 Je vis dans le paisible quartier de : Newcastle East avec un homme super chelou nommé Allan et côté amour, : bah je suis célibataire et je m'en porte pas plus mal. Il paraît que je ressemble traits pour traits à : Candice Swanepoel et que je porte les créations de : Quiet Riot. Hormis cela, mon pseudo IRL est : .poison .
Née à Sydney me 15 Juin 1993 ♦️ Son deuxième prénom est Marilyn en rapport à Miss Monroe ♦️ A longtemps été jugée comme un accident, une erreur par ses parents ♦️ Sa mère était une alcoolique, droguée et névrosée. D’ailleurs elle l’est toujours ♦️ Son père se droguait, violait Bryden et frappait aussi bien sa mère qu’elle ♦️ Quand sa mère a appris pour le viol, son père s’est enfui ♦️ Sa mère est aujourd’hui internée au Newpsych Psychologists ♦️ Elle lui rend visite une fois par semaine, bien que celles-ci sont de plus en plus espacées ♦️ A la phobie de devenir folle, alcoolique et névrosée comme sa mère ♦️ Depuis l'histoire de son père (il y a environ un an), elle ne se souvient plus de certaine partie de sa vie, comme si elle avait volontairement refoulé des choses qui pourraient la relier à ça ♦️ Plus jeune, elle faisait partie des tyrans d’Alessia et d’autres étudiants, aujourd’hui, elle le regrette ♦️ Fait partie des associations qui la recherche ♦️ A banni la violence de sa vie, prônant le Peace & Love à tout bout de champ ♦️ Vit à Newcastle East, en colocation avec Allan ♦️ Est professeure dans une école maternelle ♦️ Végétarienne & pro-bio ♦️ Fan de danse ♦️ Aime sortir & faire la fête ♦️ Maniaque de la propreté ♦️ Elle se venge dans le silence, donc les gens ne s’y attendent pas vraiment ♦️ Attachante ♦️ Sournoise ♦️ Rit tout le temps ♦️ Sa plus grande phobie est la mort, parce qu’elle ne sait pas ce qu’il y a après ♦️
FONDA Ϟ walk the line

#Georgia - Get out, right now ! Empty
MessageSujet: #Georgia - Get out, right now !   #Georgia - Get out, right now ! EmptyDim 18 Oct - 21:55

#Georgia - Get out, right now ! 2yrR
Il fait nuit. Le vent souffle si fort dehors. Les branches d’arbres cognent contre ma fenêtre. J’ai froid. Je n’arrive pas à dormir malgré toutes ces couettes qui me recouvrent entièrement le corps. Je voudrai me lever de mon lit et tirer mes rideaux afin ne plus voir cette affreuse scène extérieure, digne d’un film d’horreur Hollywoodien. On dirait le calme avant la tempête. Avant que Ghostface n’appel et me demande quel est mon film d’horreur préféré. Avant qu’il ne sorte de mon placard et ne se jette sur moi avec sa lame tranchante. Je ne peux pas regarder dehors car j’ai peur. Je ne peux pas non plus fermer les yeux car je n’arrive pas à dormir. A chaque fois que je le fais, je vois son visage. Je sens son souffle chaud sur ma peau, mes lèvres, mon cou. Avec son haleine puant l’alcool, je l’écoute me menacer de m’étouffer dans mon sommeil si j’ose pousser un cri, aussi inaudible soit-il. Je tremble. Je sens que la scène de mon pire cauchemar va bientôt se réaliser. Je me cache sous mon tas de couettes en entendant ma porte s’ouvrir. Il murmure mon prénom. « Bryden, mon amour ? ». Mes larmes coulent toute seule. J’aimerai crier à l’aide, mais je ne peux pas. Je le sais. Il me l’a dit, mot pour mot. Il me le dit tout le temps. Il n’hésitera pas à me tuer si je le fais. En moins de quelques secondes, je me retrouve sans draps sur moi. J’ai froid et peur en même temps et je n’ai nulle part où me réfugier. Ma mère doit être endormie dans sa chambre, assommée par toutes ces merdes qu’elle prend ou alors, elle n’a même pas eu la force d’aller jusque dans sa chambre et elle se trouve à l’étage du bas, sur le sol ou allongée comme une loque sur le canapé. Dans ma tête, je prie, je supplie une quelconque divinité de m’épargner ce soir. Je dis bien une quelconque car à ce moment précis, je croyais en chacune d’entre elles. Je pense que je n’ai jamais autant détesté ma mère qu’à ce moment-là. Ou plutôt, tous les soirs où mon père entrait dans ma chambre et me prenait pour sa chose. Je disparaissais de mon corps. J’étais comme morte au moment où il en prit physiquement possession. A la fin, il s’en allait en m’insultant. Je me sentais mal. J’avais l’impression d’être une simple moins que rien. Je pleurais de plus belle. Je me retournais sur le ventre et je posais mon visage contre mon oreiller et j’hurlais de toutes mes forces. Jusqu’à m’en bousiller les cordes vocales. Sauf que cette nuit-là, je ne reste pas sur mon lit à pleurer indéfiniment. Jusqu’à ce que je sois sèche et incapable de pleurer. Je me lève et je marche discrètement jusqu’à la cuisine où je me saisis d’un couteau. Je me retourne et j’avance jusqu’à l’entrée de la cuisine. Ma mère est là, devant moi, tel un zombie. Je cache rapidement le couteau, mais elle ne voit rien de toute façon. Je me rends jusque dans leur chambre. Mon père est allongé sur le lit, à moitié dessus, à moitié par terre. Je m’approche de lui. Ce soir, c’est moi son cauchemar. Je lève le couteau au-dessus de lui et je le plante. Pas une fois, pas deux, mais 5 fois. Je m’entends crier. Je l’entends également crier et quelques minutes plus tard, c’est ma mère qui arrive en criant. J’entends des pleurs de bébé et, plus rien. Le néant.

J’ouvre les yeux… Je tremble. Je regarde dehors et il fait jour. Ce n’était qu’un cauchemar. Un cauchemar un peu trop réaliste car il me rappelait pas mal de choses de mon passé. J’hésite à me lever, sincèrement. Après tout, on est dimanche. Je peux passer ma journée à flemmarder dans mon lit ou sur mon canapé non ? J’ai les mains posées sur mes yeux afin de les cacher de la lumière du jour. Cela m’aidera peut-être à me décider. Je me passe une main dans les cheveux. J’ai l’impression qu’ils sont sales. Imbibés de sang. Tout ce sang. Je me sens tellement mal. J’avais la sensation que tout ce qui c’était passé dans mon rêve était réel. Mais cela ne pouvait tout simplement pas être possible. Sinon, ce bébé serait à qui ? Je n’avais pas de bébé et mes parents regrettaient de m’avoir eu car cela les avait contraint à rester ensemble, alors, il était à qui ce putain de mioche ? C’était un réveil beaucoup trop brutal pour moi. Il me faisait réfléchir. Penser à mon passé alors que je n’en avais pas envie et ce, depuis des mois maintenant. Je me lève en espérant être seule dans l’appartement. Ouais, je ne voulais pas voir Allan. Honnêtement, je ne voulais voir personne. Aujourd’hui, j’allai seulement rendre visite à ma mère, parce que je voyais cela comme quelque chose que je lui devais. Allez savoir pourquoi, mais c’était ainsi. Je me préparais alors pour lui rendre visite. Je passais de longues minutes devant mon miroir, ma serviette autour de la taille. Mais je me résignais finalement à bouger. Je sortais finalement de chez moi avec une simple pomme et mon sac à main. J’étais habillée simplement. Comme si j’avais pris les premiers vêtements qui me tombaient sous la main. Je me sentais aussi mal dehors que dedans. Je ne vivais pas loin de la clinique psy, mais j’avais l’impression que c’était loin. Tellement loin. Finalement, j’arrivais devant mais j’hésitais à entrer. Comment dire ? Après le pseudo rêve que j’avais fait cette nuit, je me demandais si c’était vraiment une bonne idée d’aller la voir et pourquoi pas, lui poser des questions sur ce que j’avais pu voir. Je savais que cela ne le serait pas. Elle aurait sûrement l’esprit en compote. Abrutie par tous les médicaments qu’on pouvait lui administrer ici. Au final, je me demandais si la placer ici n’empirait pas plus son cas qu’autre chose…


Dernière édition par Bryden M. Johnson le Lun 19 Oct - 1:40, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas

FONDA Ϟ you're just a feeling
Georgia A. Carter
Georgia A. Carter

En ville depuis le : 14/03/2015 , j'ai colporté pas moins de : 115 rumeurs. J'ai : 30 Je vis dans le paisible quartier de : Merewether. et côté amour, : c'est très, très compliqué. Il paraît que je ressemble traits pour traits à : Gigi Hadid et que je porte les créations de : Fairgame ou Zippora ici même. Hormis cela, mon pseudo IRL est : redlove.
FONDA Ϟ you're just a feeling

#Georgia - Get out, right now ! Empty
MessageSujet: Re: #Georgia - Get out, right now !   #Georgia - Get out, right now ! EmptyLun 19 Oct - 1:35

Get out, right now !
w/ Geoden

Trop jeune pour être maman et pourtant, je l’étais d’office en acceptant de partager une partie de la vie de Marshall. Il avait eu une petite fille avec une blonde plus stupide que le mot stupide lui-même, mais, elle ne s’en souvenait pas. Je me demande encore comment on fait pour oublier son propre enfant. Comment on fait pour oublier les cases grossesse et accouchement. Je ne sais pas. A mes yeux, ce sont des choses qui te marquent à vie. Mais il faut dire que la vie de Bryden, je ne la connais pas tant que ça, alors, qui suis-je pour la juger hein ? Bah je suis celle qui se retrouve à sa place. Qui gère ce qui devrait être sa préoccupation principale. J’aimerai tellement tout lui balancer là. Prendre mon téléphone et l’appeler pour lui dire Hey poufiasse, t’as une fille, occupes toi en ! Mais selon son psy, on ne devait rien dire Marshall et moi, jusqu’à ce qu’elle réussisse à s’en souvenir d’elle-même sinon, ça pourrait la brusquer et tout compromettre. Combien de temps allaient durer ces conneries sérieusement ? J’étais épuisée. Je travaillais comme infirmière à l’hôpital et je rendais parfois visite à la mère Johnson parce que, me rendre dans cette clinique psychiatrique faisait partie d’une mission professionnelle mais, je lui donnais également des nouvelles de sa petite fille de cette façon. Aujourd’hui d’ailleurs, elle ne parlait pas des masses. Ça sentait la prise de médicaments en masse ça. Je préférais mon job d’infirmière à l’hôpital de la ville. Je prenais ainsi soin des gens, je m’en occupais, je les écoutais. Là, ici, j’avais juste la sensation que les professionnels de la santé se préoccupaient juste de l’heure qu’il était afin de droguer leurs patients et de retourner à des activités dites plus intéressantes. Je n’arrivais pas à rester dans cet endroit plus d’une heure. Ça m’était impossible d’en faire plus. Je ressortais de là-bas le cœur littéralement brisé en deux. La mère Johnson me faisait de la peine. Tous les patients me faisaient de la peine en faites. Je ne comprenais pas comment on pouvait en arriver là. Il devait forcément y avoir un gros facteur pour qu’on en arrive à perdre la tête et se retrouver ici, amorphe, drogué … Devant l’entrée, je me retrouvais face à elle. Face à Bryden. Pas elle. Non ! Je levais les yeux au ciel. Elle aurait pu choisir une autre heure, voire même, un autre jour que celui-là. « Salut ! J’ai vu ta mère … Elle est loin de te réclamer ! C’est comme ça depuis des années si je ne me trompe pas non ? ». J’y étais peut-être allé trop fort là non ? Nooon ! Je posais ma main sur son épaule tout en souriant. Je me montrais clairement hypocrite avec elle et au fond d’elle, elle devait le savoir. On ne s’était jamais aimées après tout, ça n’allait certainement pas commencer maintenant. A moins que l’on ne se prenne un gros coup sur la tête. « Elle a été internée ! Elle a été jugée comme étant beaucoup trop folle pour réellement comprendre ce qu’elle faisait ! C’est fou non ? Je savais pas que la folie était héréditaire ! Fais gaffe, tu pourrais bientôt te retrouver dans une chambre, proche de la sienne ! ». Je retirais ma main tout en haussant les épaules et je commençais à lui tourner le dos afin de m’en aller. Selon moi, j’avais fait ma BA de la journée. Mais une BA qui m’était destinée évidemment. Après, tout, il n’y a pas de règle qui dit que l’on ne peut pas faire une BA qui nous serait entièrement bénéfique !
Revenir en haut Aller en bas

FONDA Ϟ walk the line
Bryden M. Johnson
Bryden M. Johnson

En ville depuis le : 14/03/2015 , j'ai colporté pas moins de : 115 rumeurs. J'ai : 31 Je vis dans le paisible quartier de : Newcastle East avec un homme super chelou nommé Allan et côté amour, : bah je suis célibataire et je m'en porte pas plus mal. Il paraît que je ressemble traits pour traits à : Candice Swanepoel et que je porte les créations de : Quiet Riot. Hormis cela, mon pseudo IRL est : .poison .
Née à Sydney me 15 Juin 1993 ♦️ Son deuxième prénom est Marilyn en rapport à Miss Monroe ♦️ A longtemps été jugée comme un accident, une erreur par ses parents ♦️ Sa mère était une alcoolique, droguée et névrosée. D’ailleurs elle l’est toujours ♦️ Son père se droguait, violait Bryden et frappait aussi bien sa mère qu’elle ♦️ Quand sa mère a appris pour le viol, son père s’est enfui ♦️ Sa mère est aujourd’hui internée au Newpsych Psychologists ♦️ Elle lui rend visite une fois par semaine, bien que celles-ci sont de plus en plus espacées ♦️ A la phobie de devenir folle, alcoolique et névrosée comme sa mère ♦️ Depuis l'histoire de son père (il y a environ un an), elle ne se souvient plus de certaine partie de sa vie, comme si elle avait volontairement refoulé des choses qui pourraient la relier à ça ♦️ Plus jeune, elle faisait partie des tyrans d’Alessia et d’autres étudiants, aujourd’hui, elle le regrette ♦️ Fait partie des associations qui la recherche ♦️ A banni la violence de sa vie, prônant le Peace & Love à tout bout de champ ♦️ Vit à Newcastle East, en colocation avec Allan ♦️ Est professeure dans une école maternelle ♦️ Végétarienne & pro-bio ♦️ Fan de danse ♦️ Aime sortir & faire la fête ♦️ Maniaque de la propreté ♦️ Elle se venge dans le silence, donc les gens ne s’y attendent pas vraiment ♦️ Attachante ♦️ Sournoise ♦️ Rit tout le temps ♦️ Sa plus grande phobie est la mort, parce qu’elle ne sait pas ce qu’il y a après ♦️
FONDA Ϟ walk the line

#Georgia - Get out, right now ! Empty
MessageSujet: Re: #Georgia - Get out, right now !   #Georgia - Get out, right now ! EmptyLun 26 Oct - 14:43

#Georgia - Get out, right now ! 2yrR
Je me retrouve devant l’entrée, devant Georgia. Je savais que j’aurai du rester chez moi, au lit aujourd’hui. Mais non ! Je n’écoute jamais ma première décision. Elle me regarde avant de lever les yeux au ciel. Elle me méprise et cela tombe bien, car c’est réciproque. Sa haine envers moi est si forte, si puissante que je la ressens et malgré le fait que concrètement, elle ne m’ait rien fait, je la hais de tout mon être. Quoique… Elle ne m’avait rien fait jusqu’à ce qu’elle parle de ma mère. Je ne comprenais pas où elle voulait en venir en parlant d’elle ainsi. En osant parler de mon passé. Même si elle le faisait indirectement, je trouvais cela vraiment dégueulasse. Même venant d’elle. Je hausse les épaules sans lui répondre. J’ai envie de partir, de rentrer chez moi et d’oublier ma visite de la semaine. Si elle dit cela, c’est qu’elle a parlé à ma mère. Je n’ose même pas imaginer leur discussion. J’ai peur. J’imagine déjà que cela n’a rien de réjouissant. Elle se montre amicale, donc hypocrite. Je savais qu’elle ne m’aimait pas. Je ne l’aimais pas non plus. Moi, j’avais tout un tas de raisons, elle n’en avait aucune, qu’on se le dise. Alors pourquoi ? Elle me compare à ma mère. Elle va beaucoup trop loin là. Elle essaie de se montrer blessante et le pire dans tout cela, c’est que ça marche. Elle devrait faire gaffe à elle. Ce n’est pas parce que je ne lui colle pas mon poing dans la gueule, là, tout de suite, que je vais laisser passer cela. Oh, donc la connerie et l’anorexie sont héréditaires, car tu me fais de plus en plus penser à ta poufiasse de mère ! N’oublie pas qui a toujours été la ratée de service de nous deux, depuis le début ! Elle partait, toute fière d’elle. J’espérai que ma remarque la ferait réagir. Je ne voyais pas quoi faire d’autre hormis rentrer dans son jeu. Même si je n’aimais pas cela. J’avais vraiment changé en fait. Et cela non plus, je n’aimais pas. Il y a des moments où je rêve d’être de nouveau cette garce qui se sert des autres pour se défouler, pour oublier sa peine et sa haine. J’aimais parfois ces instants où je faisais d’Alessia ma petite cible sans cervelle. J’aimais aussi me servir du peu d’amis qu’elle avait. Parfois, je me demandais pourquoi j’avais tant voulu changer et devenir cette bonne personne que je suis aujourd’hui. Comme maintenant. Alors je m’avançais vers elle et je posais à mon tour ma main sur son épaule. Je la retournais vers moi avant de lui envoyer mon poing droit dans sa figure. La violence ne résout rien, c’est bien vrai. Mais putain, qu’est-ce que ça soulage. Ca t’apprendra peut-être à fermer ta gueule ! Avec tous ces témoins, j’aurai peut-être dû m’abstenir d’un tel geste mais…. Non ! Il était clair que je ne recommencerai pas en tout cas, mais pour l’heure, oui, je me sentais bien.
Revenir en haut Aller en bas


Contenu sponsorisé


#Georgia - Get out, right now ! Empty
MessageSujet: Re: #Georgia - Get out, right now !   #Georgia - Get out, right now ! Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

#Georgia - Get out, right now !

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Have nothing to prove :: La ville :: Newcastle east :: NewPsych Psychologists-